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Pourquoi des groupes 3D ?


Eunice Parodi | Relations publiques


Nous, les chrétiens de Belgique, nous rêvons de voir le Royaume de Dieu gagner du terrain dans notre pays, n’est-ce pas ? Puis, lorsque nous avons la joie d’accueillir de nouveaux arrivants dans notre communauté, quelle que soit l’étape de leur périple personnel avec Christ, nous prions pour une Eglise forte qui inclut chacun dans sa diversité. Et si vous êtes un « chrétien engagé », croyez bien que vous êtes une bénédiction pour vos responsables spirituels.


Mais le Royaume de Dieu ne compterait-il alors que deux catégories : la collectivité (la communauté locale, le groupe chrétien, l’Eglise au sens large) et l’individualité (le chrétien) ? Dans cette configuration, l’individu bénéficie de la communauté et des enseignements prodigués par la collectivité, voire s’y engage. Or, si Internet nous permet aujourd’hui de communiquer avec nos frères et sœurs du monde entier, la connexion n’est pas toujours automatique avec notre voisin de chaise du dimanche ou de l’étude biblique du mardi soir.


Entre individualité et collectivité naît une troisième catégorie : une mini-collectivité de trois personnes qui cheminent spirituellement sur trois niveaux (individuel, collectif et en petit groupe). Si l’on considère chaque communauté comme une « division d’armée » du Royaume, imaginons les groupes 3D comme les groupes de travail où se développe l’identité spirituelle propre à cette « division ». A titre d’exemple, même si leur fonctionnement est identique, un groupe 3D à Anvers n’aura pas la même « couleur » qu’un groupe à Liège. En parallèle, toute la collectivité grandit à l’image de Christ, maintenue par des liens d’amour tissés dans l’intimité et le secret des groupes 3D. « C’est à cela [que les gens de l’extérieur] reconnaîtront que vous êtes mes disciples » … et que le Royaume gagnera du terrain.

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